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Afin d’aborder les grands enjeux sociétaux sur lesquels se positionne NAÏLA (i.e., vulnérabilité des milieux agricoles et adaptabilités ou résiliences via un panel d’innovations), les activités disciplinaires conduites au sein des axes s’articulent avec des actions transversales qui mobilisent des compétences complémentaires sur tout ou partie desdits axes. Ces actions transversales, qui illustrent la plus-value de NAÏLA, correspondent à des travaux concrets sur plusieurs années (5-10 ans, correspondant à la succession de 2 à 3 doctorants / post-doctorants), en vue de conduire des analyses intégrées, et ainsi contribuer à la conception de nouveaux modes de gestion de la ressource en eau dans les territoires agricoles, en lien avec les politiques publiques. Nous présentons ici ces actions en distinguant (1) la caractérisation des risques et menaces auxquels font face les territoires agricoles, (2) la co-construction avec les parties prenantes des solutions envisageables et acceptables pour affronter ces risques et menaces, et (3) l’analyse ex-post des travaux antérieurs pour repenser la contribution des recherches en réponse aux besoins des acteurs.Ces actions se font en lien avec les axes, par exemple au niveau de l’axe 3 qui sollicite les compétences de l’axe 2 en simulations numériques pour évaluer les fonctionnalités induites par les scénarios d’évolution (modes de gestion innovants).

vulnérabilité de l’agriculture au changement climatique.

La co-construction de solutions envisageables et acceptables, en lien avec la conception de modes de gestion de la ressource en eau, notre approche est duale. D’une part, nous explorons les innovations possibles, en lien avec les compositions et les agencements spatiaux, depuis la parcelle jusqu’au territoire, et ce en considérant des éléments « socio-éco-agro-hydrologiques » seuls (e.g., cultures associées) ou combinés (e.g., occupation du sol et réseaux de lacs collinaires). D’autre part, nous étudions les conséquences biophysiques et socioéconomiques de ces innovations, incluant la recharge des réservoirs (aquifères, lacs, barrages), la production agricole, la minimisation de l’érosion.